Pim ♡ Pour rester soi-même dans un monde qui s’évertue jour et nuit à vous rendre comme n’importe qui, il faut gagner la plus rude bataille qu’un humain puisse livrer, et cette bataille n’a pas de fin.

∞ **las vegas since** : 25/08/2012

C-P. Pimrose-Jäyne Linor

PRÉNOMS: Coquelicot-Päyne Pimrose-Jäyne. NOM: Linor. NATIONALITÉ: Franco-Anglaise. LIEU DE NAISSANCE: Paris. DATE DE NAISSANCE: 15 Juillet 1989. AGE: Vingt trois ans. A LAS VEGAS DEPUIS: Trois ans. MÉTIER OU ETUDE: Etudiante en langue (Polonais & Russe) tout en travaillant dans une parfumerie à mi-temps mais veut devenir créatrice de sa propre ligne de parfum. STATUT: Célibataire. SITUATION SOCIALE: Aisée. TON JEU PRÉFÉRÉ: Black jack. SI TU ÉTAIS UN FILM: "Titanic" ou "Ma première Fois". SI TU ÉTAIS UNE CHANSON: Call me Maybe. SI TU ÉTAIS UN SMILEY: pinou

SI TU ÉTAIS UN OBJET: Une fleur. SI TU ÉTAIS UN PLAT: Poulet Basquaise. TON PLUS GRAND RÊVE: Toucher le ciel du doigt, même si c'est totalement impossible. AVATAR: Dianna Agron.

∞ Eternally

AGE: 14 ans. VOTRE AVIS SUR LVB: Magnifique, avec un staff, qui je connais en parti ainsi que certains membres bril

Bref, je suis en "kiff" total sur le forum et l'ambiance est géniale ! COMMENT AS-TU CONNU LVB: Grâce à Caro *o* PERSONNAGE INVENTE OU SCÉNARIO: Personnage tout droit sorti de mon invention ainsi que le pseudo. CRÉDITS: Avatar(s) de Bazzart, icônes de moi même et TUMBLR pour les gifs. Codage de la mise en page ou il y à le texte de la présentation, par moi même.AUTRE COMPTE: Nop. CÉLÉBRITÉ: Dianna Agron. CODE DU RÈGLEMENT: Sucekikiiii valiiiiide caca

∞ **las vegas since** : 25/08/2012

∞ story of a gambler.

La naissance, le 15 juillet 1989 à Paris.

Les contractions se faisaient de plus en plus régulières, c'est au moment où Iseult Linor perdu les os qu'elle se rendit compte qu'elle était en train d'accoucher. C'est prise de panique qu'elle réveilla en furie son mari Charles depuis maintenant dix ans. En effet, madame Vuton avait eu beaucoup de mal à avoir un enfant à cause de soucis de stérilité, mais maintenant en pleine nuit du vingt-sept mai mille-neuf-cent-quatre-vingt, elle allait enfin donner la vie pour la toute première fois.
« Vite Charles, réveillez-vous, je viens de perdre les os, je vais accoucher dans les minutes à venir ! C'est paniqué qu'il se leva d'un bond du lit saisissant la valise préparée pour l'occasion qui se trouvait dans l'armoire tandis qu'Iseult enfilait rapidement sa robe-de-chambre à motif liberty. »
« Venez, je prends la valise et je reviens vous chercher, je vais chauffer la voiture, ne bougez pas ! Comment-pouvait-elle bougé ? Bonne question. Elle se touchait le ventre déjà bien arrondi tout en commençant à tourner de l'oeil. »

Après une bonne demi-heure de supplice et de contractions bien douloureuse pour une personne aussi anxieuse que madame Linor, elle était vêtue d’une robe blanche à pois vert-pomme, elle était sur le point d'aller en salle de travail. Le bébé descendait et son col de l’utérus se détendait, Charles lui était détendu, il savait qu’il n’avait pas à s’en faire pour sa femme. A vrai dire, il ne s’en faisait jamais, il n’avait pas été le genre d’homme à être peureux et chagriné. Bien au contraire. Il avait une belle et magnifique femme qui était aux petits soins et il était fortuné avec son ranch bien populaire ainsi que sa maison d’hôte. Ils vivaient tous deux dans un vrai paradis sur terre non loin d’Athènes ! Il gambadait dans le couloir à la recherche de renseignement, lui aussi avait eu une robe d’accouchement. Ou plutôt, une tenue propre prêtée par l’hôpital. Il était aussi muni d’un appareil numérique attaché en bandoulière car il allait filmer sa femme en train de donner la vie. Car oui, c’était sans doute le seul enfant qu’ils auraient et ils ne pourraient pas revivre cette expérience qui fait chavirer les cœurs une seconde fois.
« Charles, j'ai peur... J'ai peur.. Très peur.. C’est le visage tendu, les rides déjà apparente qu’il s’approcha délicatement d'Iseult touchant sa chevelure pour ensuite déposé un doux baiser sur ses lèvres. Une infirmière s’approcha du couple puis poussa le fauteuil roulant ou était assisse madame Linor pour l’amener à la salle d’accouchement. »
« Il ne faut pas, d'autre sont passées avant vous, tout se passera merveilleusement bien, vous verrez. Bien entendu, là non plus il ne savait ce qu'il disait, il n'avait jamais assisté à un accouchement. C'était juste des paroles sortie de sa bouche dans le seule but de soulagé et surtout de rassuré la belle blonde qu'était Iseult. C'était une femme exemplaire qui possédait un physique de rêve, elle avait tout pour plaire. »
« Bonjours madame, bonjours monsieur. Je suis la sache-femme qui va vous accouché, je vous explique donc le déroulement. Tout d’abord vous allez être couchée sur le brancard que voilà. Puis vous allez être branché à diverses machines pour vérifier votre tension, votre rythme cardiaque ainsi que celui du bébé. Puis vous commencerez à pousser, je vous dirais quand vous pourrez reprendre votre souffle. Si jamais vous sentez une sensation diverse prévenez l’équipe, nous ne voulons pas prendre de risque. La jeune-femme était calme, reposée et certaine, c'est donc quelques instants plus tard qu'Iseult se trouvait sur le lit. L'épreuve tant redoutée commençait, le couple était anxieux mais ne voulait pas ce faire de fausses-idées, il s'attendait au pire et à l’inimaginable. »

Une dernière poussée après une heure d'effort intense, la tête du bébé commençait à se voir. Elle était blonde et couverte de quelques cheveux. Iseult était impatiente de découvrir sa fille et de la prendre dans ses bras et son voeu fit réaliser quelques instants après. Émue, remplie de joie c'était comme cela que l'on pouvait décrire le couple. Madame Linor prenait l'enfant dans ses bras la regardant les yeux remplis de larmes. C'était évident qu'elle était ravie, l'on lui retira la petite quelques instants pour la pesée, la mensuration mais aussi pour lui faire son identité.
« Quelle belle princesse, quel est son prénom? La sache-femme était ravie que tout se soit bien passé, un sourire était même visible sur son visage. »
« Coquelicot-Päyne Pimrose-Jäyne Linor. Mais les principaux reste Pimrose-Jäyne. Impatiente, elle quitta la salle toujours sur le brancard pour aller en direction de la chambre qui lui était attribuée. Elle reçue un plateau-repas composé de purée, de poisson, d’un bout de fromage, d’une banane et d’un yaourt nature. Elle engloutit le tout avec appétit. Puis, Pimrose revint dans les bras d’une infirmière emmitouflée dans une gigoteuse rose bonbon et d’un petit bonnet beige. Iseult lâcha sa fourchette brusquement pour prendre sa fille dans ses bras. »
« Qu'elle est belle, elle vous ressemble. Assis dans un fauteuil, Charles leva le petit bonnet pour mieux apercevoir sa fille. Il déposa un baiser sur les lèvres de sa femme caressant de son autre main sa chevelure. Vous avez fait du bon travail ! »
« Si vous saviez comment je suis comblée au plus profond de moi-même d'enfin la tenir entre mes bras... »

L'enfance.

Passée l'âge de cinq ans, j'avais toujours eu une enfance irréprochable dans un cercle familial calme avec des parents sachant m'aider, toujours là pour moi, aux petits soins. Je crois même que j'en profitais quand je faisais quelques caprices, mais avouez-le, quel enfant ne fait pas de caprice? C'est tout bonnement impossible, j'étais gâtée. Gâtée à mon anniversaire mais aussi à Noël ou bien encore à pâque, je trouvais toujours une occasion pour avoir des cadeaux.

La découverte de la maladie, le 19 décembre 2008 à Paris.

Je tremblais. J'avais des frissons, puis quand le médecin en face de moi m'annonça son diagnostic, je tombai de haut. Jamais, jamais je n'avais pensé pouvoir avoir une maladie aussi grave. Je croisai les bras sur le bureau couvert de plastique plaçant ma tête entre mes coudes pleurant comme jamais je n'avais pleuré. Le ciel bleu s'effondrait pour laisser place à une tempête, à un orage, à un cyclone ou bien même une tornade. Mon sourire angélique s'était envolé, je posais par la suite tout un tas de questions sur mon état et les consignes à suivrent.
« - Ce n'est pas possible...
- C'est pourtant ce que révèlent vos prises de sang, mademoiselle Linor. Vous souffrez bien de la mucoviscidose, le stade de la maladie n'affecte que très peu vos poumons. Vous devrez et devez suivre un traitement de kiné et des soins spéciaux le plus rapidement possible. Dix-neuf ans... Et je souffrais déjà, j'étais malade. Si cela se trouve, j'avais la leucémie depuis des années déjà ou bien même depuis ma naissance, endormie avant qu'elle ne se réveille il y a plusieurs mois par tes toux et des infections. Je crachais, je crachais beaucoup et cela avait alerté ma famille et mon médecin généraliste. Ce dernier m'avait envoyé faire une prise de sang et je savais à présent que je souffrais d'une maladie "grave" et qui pouvait m'être vitale. »

L'annonce fatale, le 26 mai 2012. Cabinet du docteur-professeur Paillard, Paris.

Dans la même salle, presque quatre ans après; face au même médecin, toujours aussi terrifiant pour moi. Mais il était si attentionné, ses explications si claires, précise, il avait comme un don pour me rassurer du haut de ces cinquantaines d'années. Les mains posées sur les genoux, je le fixe dans les yeux attendants qu'un son sorte de sa bouche. Durant les quatre précédentes années, ma vie avait suivi son cours, j'avais jonglé entre mes études de langues que j'avais entamées et mes traitements pour essayer de lutter, au mieux contre la maladie.

« - Mademoiselle Linor..
- Oui..? Je serra les poings, essayant au maximum de décrisper mon visage.
- Votre maladie.. Comment la vivez vous?
- J'essaye de me dire que je ne suis en réalité pas la seule, dans ce monde à avoir la mucoviscidose.
- Avez-vous peur de la tournure de cette dernière?
- Il arrivera ce qu'il arrivera, personne ne peut prédire l'avenir..
- D'accord. Avez vous des troubles du comportement, des pertes d’appétit, des moments de solitude..?
- J'avoue que, je manque d’appétit en ce moment, je vis encore chez ma mère et elle me fait souvent la réflexion. Il m'arrive de passer mes journées à dormir, à bouquiner et à jongler entre télévision et ordinateur. Il m'arrive de me sentir comme une pile, pleine ou vidée par moment.
- Je vois...
- Honnêtement, il me reste... Combien de temps..?
- Un ou deux ans. Sauf si vous avez la possibilité d'être prise en charge pour une greffe d'un poumon ou même des deux. Je m'efforça de sourire, comme à chaque fois, je voulais venir seule, avoir la force de surmonter les rendez-vous presque mensuels avec le spécialiste. Je ne voulais pas faire un poids à porter en plus à ma famille. J'aurais voulu serrer une main, autre que la mienne.
- D'accord. Dis-je d'une voix faible.
- Je vous conseille de profiter. De profiter de la vie même ci cette dernière ne vous souris pas tout le temps, l'on en à qu'une seule et il ne faut pas la louper. Ne vous laissez pas rongez, faites et suivez votre traitement, allez prendre l'air, faites ce que les jeunes de nos jours font même si, cela n'est pas forcement évident.
- Merci de vos conseils, monsieur. Une fois l'entretien terminer je me leva de la chaise, et sortie dans le couloir blanc, les tallons claquant sur le sol carrelé. Je suis là, dans un hôpital alors que dehors; il fait beau et les oiseaux chantent et virevoltent dans le ciel. »

Le départ, le 16 juillet 2012, aéroport de Roissy Charles de Gaulle.

Je montai dans le gros véhicule gris, ma valise était dans le coffre j'avais emporté peu de vêtements, juste de quoi vivre durant une semaine à peu près. J'avais décidé d'aller vivre à Las-Végas, non pas pour oublier juste pour être indépendante à l'âge de vingt-trois ans. Je savais très bien que les premiers jours la séparation serait dure, que je devais tout faire pour m'intégrer. J'allais donc devenir étudiante à l'université en étude de langue avec comme spécialité le polonais et le russe et jonglerais avec un travail à mi-temps dans une parfumerie. Les papiers étaient sur mes genoux, je lisais sans cesse la brochure publicitaire de l'université regardant les photos tout en tapotant sur le bord de ma fenêtre du bout des doigts. Ma mère fit démarrer le moteur, elle sortit de la propriété au centre de Paris pour partir en direction de l'aéroport, il était tôt et il n'y avait donc personne sur la route.

Marchant dans l'aéroport tout en tirant ma valise, ma mère à ma gauche mon père à ma droite j'avais la gorge serrée. Je n'avais jamais pris l'avion, il y en avait au moins pour quatre heures minimums et je ne savais pas comment un vol se déroulait, non je n'avais pas peur j'étais juste tendue à l'idée de partir, de me demander comment je gérerais ma vie à présent ainsi que ma maladie seule. Mais je devais prendre mon indépendance, découvrir la vie, prendre le large et me détaché de mon cocon familial bien l'on est beaucoup fait de moi. J'allai à la porte d'embarquement où l'on enregistra mon billet, je fis un baiser sur la joue à ma mère et à mon père, je voulais être forte et ne pas laissé couler mes larmes je pénétrai ensuite dans l'avion guidé par une hôtesse à travers les rangs prenant ensuite place sur mon siège. Je pris un mouchoir essuyant mes larmes, j'attendais que l'avion commence à rouler pour faire sans doute un dernier au revoir à mes parents. Je savais que ce départ était difficile et que j'avais fais du mieux que je pouvais pour ne pas tasser mes soucis dans ma valise. À Paris, bonjours Las-Végas.

Hors histoire.

Je passe souvent ma main dans mes cheveux blond. Je me mords aussi la lèvre quand je suis nerveuse. Mais je suis aussi végétarienne depuis quatre ans par choix personnel, cela veut dire que je ne mange plus de viandes ni de poissons. J'ai encore la mucoviscidose et j'essaye de lutter contre elle, j'ai en tête l'envie de devenir créatrice de ma propre ligne de parfum à Las-Végas mais avant je veux finir mes études de langue et avoir mon diplôme.

sympathique douce fidèle intelligente méfiante jalouse maniaque timide impatiente généreuse sensible maladroite tête en l'air rêveuse paresseuse ordonnée.

« La mort n'atteint pas seulement celui qui doit fermer les yeux à jamais mais aussi les autres tous les autres qui recevront l'horreur et l'absence en partage. »

« Je n'ai pas peur de mourir parce que je ne connais pas la mort. Mais j'ai peur de ne plus vivre parce que je connais la vie.. »

∞ **las vegas since** : 10/08/2012

Pim ♡ Pour rester soi-même dans un monde qui s’évertue jour et nuit à vous rendre comme n’importe qui, il faut gagner la plus rude bataille qu’un humain puisse livrer, et cette bataille n’a pas de fin. 3106778041

∞ **las vegas since** : 10/08/2012

Contente que tu sois là Comme je te l'ai dis il est canon ton pseudo
Bienvenuuuue

∞ **las vegas since** : 11/08/2012

joli pseudo + le choix d'avatar qui déchire.
bienvenue

∞ **las vegas since** : 12/08/2012

Y a pas que le pseudo qui est canon hey

Bienvenue blondinette & bon courage pour ta fiche I love you

∞ **las vegas since** : 10/08/2012

Ton avatar + Ton pseudo bref j'adhère bien sûr !!!!!!!!!
Bienvenue ici Pim ♡ Pour rester soi-même dans un monde qui s’évertue jour et nuit à vous rendre comme n’importe qui, il faut gagner la plus rude bataille qu’un humain puisse livrer, et cette bataille n’a pas de fin. 2176505670

∞ **las vegas since** : 10/08/2012

Bienvenue .
Bon courage pour ta fiche. Si tu as des questions, n'hésite surtout pas .

∞ **las vegas since** : 11/08/2012

ton avatar et puis ton pseudo
bienvenue sur LVB et bonne chance pour ta fiche

Invité Invité

Ton pseudo + Agron bave

Bienvenue et bonne chance pour ta fiche I love you

∞ **las vegas since** : 25/08/2012

Elwood, je suis totalement d'accord avec toi
Merci à vous pour votre accueil, je me dépêche le plus rapidement de faire ma fiche pour, ensuite pouvoir RP

∞ **las vegas since** : 25/08/2012

TON PSEUDO + Dianna = perfection I love you

Bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fichounette Pim ♡ Pour rester soi-même dans un monde qui s’évertue jour et nuit à vous rendre comme n’importe qui, il faut gagner la plus rude bataille qu’un humain puisse livrer, et cette bataille n’a pas de fin. 1970987099

∞ **las vegas since** : 25/08/2012

Merci Elay

∞ **las vegas since** : 25/08/2012

Fiche terminée, merci à la personne qui me validera et bonne lecture

∞ **las vegas since** : 10/08/2012

JE TE VALIDE
Bon jeu & n'oublie pas de recenser ton avatar dans le bottin

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» JALES ◭ les mecs, c'est comme les pokémons, ils faut les dresser pour qu'ils évoluent.
» PETER-WALT ► Je suis occupée. Comme vous le voyez je ne suis pas occupée, c'est juste une façon plus polie de vous dire de dégager.
» Toi et moi, dans le même bermuda ; on partage tout, même nos tongs
» AMY ☆ Qu'est-ce que vous apercevez quand vous regardez une blonde dans les yeux ? Le fond de son crâne
» WESLEY ~~ « La magie du premier amour, c'est d'ignorer qu'il puisse finir un jour. »

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