∞ story of a gambler.
le vingt-sept août mille deux mille six ∆
Bonjour monsieur, je suis Everly Wilson. Vous m'avez appelé au sujet de ma fille, Polly Wilson. J'étais allée avec ma mère à l'hôpital. Les pompiers l'avait appelés au sujet de ma soeur Polly. Mon unique soeur, ma meilleure amie, ma confidente. Je ne comprenais pas vraiment pourquoi nous étions là. Je pensais que nous étions parce qu'elle s'était cassé quelque chose, mais rien de plus seulement je m'étais trompée. Ma mère m'installa sur le siège et j'attendis longtemps, très longtemps avant qu'elle ne revienne en pleure.
Qu'est-ce qu'il ce passe maman ? Maman me regarda et tomba sur le siège qui était à ma gauche. Je partis pour la prendre dans mes bras et lui redemander encore une fois ce qui n'allait pas.
Tu sais quand papa est mort, je t'ai dis de te dire qu'il serait tout bien tout la haut, eh bien... Elle s'arrêta pour prendre son souffle et continua.
Polly... a rejoint... papa ! Enfin j'avais compris que ma soeur était décédée. Quand je me disais que j'avais crue que ce n'était pas grave... Je me mis à pleurer et tomba à terre. Ma mère me prit dans ses bras et demanda à un infirmier d'appeler chez ma tante pour lui prévenir et pour qu'elle vienne nous chercher. Je me demandais pourquoi nous. Pourquoi mon père et ma soeur avait-il pu disparaître si vite.
Ma...mamn je veux voir une dernière fois ma... Polly. Ma mère me regarda comme ci j'étais folle. Elle me fit un oui de la tête et alla voir tant bien que mal, l'infirmier. Il accepta et je puis aller voir ma soeur. Elle avait un énorme cocard et j'eus du mal à la reconnaître. Je m'approchais puis reculais, elle me faisait peur. Je pris ma mère par la main et la tira hors de cette endroit. Quand je fus en dehors de cette pièce, je respira un grand coup. Nous nous réinstallions dans la salle d'attente quand je vis arriver ma tante. Elle me prit dans ses bras et embrassa fort ma mère. Nous partions quelque minutes après.
le six décembre mille deux mille neuf ∆ Je venais d'apprendre que Polly s'était fait violée puis tuer. L'envie de tuer celui qui lui avait fait ça me démangeait. Seulement, que faire quand vous vous appelez Zoë-May Wilson et que vous n'étiez pas la plus riche, la plus belle. Les polices ne l'avait toujours pas trouvé. J'essayais de rester forte, en attendant qu'il le trouve. Mais je sais que ça n'allait pas être facile. Je voulais arrêter de penser à ça, mais malheureusement je n'y arrivais pas. Je voulais montrer à ma mère que tout allait bien pour moi et que tout devait bien aller pour elle. Je regardais le temps passer et je ne voulais plus sortir n'y approcher du monde. Mais ma mère m'obligeait quand même à aller étudier. Alors, j'allais à l'université rien que pour étudier. Je ne parlais à personne et personne ne me parlaient. Tout le monde s'avaient ce que j'avais vécue alors tout le monde savait qu'il ne fallait pas m'approcher enfin ils ne voulaient pas m'approcher. Enfin personne sauf lui. Lui, le plus beau.
Salut ! C'est Zoë-Maya c'est ça ? J'explosais de rire et lui dis :
Non, moi c'est Zoë-May. Zoë parce que mon père adorait ce prénom et May parce que le deuxième prénom de ma mère s'est ça. Il me sourit et nous discutions pendant près d'une heure. Il me disait qu'il avait perdu sa mère et son père dans un accident de voiture, qu'il n'avait pas peur de moi etc. J'étais heureuse d'entendre ça, cela faisait longtemps que je voulais l'entendre. C'est ainsi que Mickey et moi avons vécu une grande amitié et ensuite un grand amour. Nous avons vécu trois ans d'amour. Seulement, Mickey est partit en me laissant un mot qui me disait qu'il ne pouvait pas faire autrement. Je n'ai jamais compris pourquoi, il était partit. Mais maintenant, je me porte mieux sans lui, j'ai envie de dire.
le vingt neuf octobre deux mille douze ∆ Aujourd'hui, je suis une femme libre malgré que je sois encore amoureuse.
J'essaye de tout oublier et essayer d'oublier ma soeur. Je sais que vous pensez que c'est tout à fait débile, mais je préfère l'oublier au lieu d'attendre que son assassin soit démasquer. Bref, ma mère et moi nous sommes en froid, mais je pense que ça va s'arranger enfin je ne sais pas vraiment.
to be continued.