gemma polly blackbird

PRÉNOMS: gemma, polly. NOM: blackbird. NATIONALITÉ: anglaise. LIEU DE NAISSANCE: Londres. DATE DE NAISSANCE: 08.11.1989 . AGE: 22 ans. A LAS VEGAS DEPUIS: trois mois. MÉTIER OU ETUDE: chanteuse (ou en tout cas voudrait). STATUT: libre comme l'air SITUATION SOCIALE: très aisée. TON JEU PRÉFÉRÉ: loto SI TU ÉTAIS UN FILM: sexe intentions. SI TU ÉTAIS UNE CHANSON: i kissed a girl SI TU ÉTAIS UN SMILEY: . SI TU ÉTAIS UN OBJET: un sex toy. SI TU ÉTAIS UN PLAT: quelque chose d'épicé. TON PLUS GRAND RÊVE: devenir chanteuse reconnue TA PLUS GRANDE PEUR: tomber dans l'oubli. AVATAR: jennifer lawrence.

∞ mockingberry/fantine.

AGE: 19 ans. RÉGION: Ile de France. VOTRE AVIS SUR LVB: J'adooooore !. COMMENT AS-TU CONNU LVB: je crois bazzart, j'y suis déjà depuis un bout de temps. PERSONNAGE INVENTE OU SCÉNARIO: personnage inventé. CRÉDITS: tumblr. AUTRE COMPTE: non. CÉLÉBRITÉ: jennifer lawrence. CODE DU RÈGLEMENT: je m'en souviens plus mais vous avez qu'à voir sur ma première présentation il a été validé .

∞ story of a gambler.

Histoire à écrire avec minimum 20 lignes. « Ce n'est pas me fixer avec ces deux ronds de flan que vous appelez vos yeux que je vais parler. »
« N'est-ce pas ce que vous venez de faire ? »
« Cela ne compte pas. »
Un soupir s'échappa de ma bouche, tandis que la psychiatre relevait son carnet pour y noter quelques choses. C'était une volonté de mes parents. De la voir. Je ne savais pas du tout pourquoi ils avaient cru bon de me faire voir quelqu'un. Peut-être était-ce mes grandes crises de pleurs ou de cri, à l'opposé des phases où j'étais complètement heureuse et motivée. Je n'étais pourtant pas bipolaire : j'avais fait des recherches sur internet. Mes comportements s'apparentaient plus à des crises enfantines d'enfant pourrie gâtée. Est-ce que je l'étais ? Oui. Et je ne le niais pas. J'avais eu tout ce que je voulais depuis ma plus tendre enfance et cela m'allait très bien. J'ajustais ma robe moulante de marque, tapais de mon haut talon le tapis qui avait l'air aussi cheap que ses boucles d'oreille.
« La séance est finie ? »
Elle consulta sa montre.
« Non. Parlez moi un peu de vous, n'importe quoi qui vous passe par la tête. »
Je réfléchissais quelques instants. Et puis, au diable ! Secret professionnel, elle n'allait sûrement rien dire de ce que je pouvais raconter ici. J'avais bien besoin de quelqu'un pour me lâcher les nerfs. Je commençais donc à parler.
« J'adore le sexe. Je suis folle de sexe. Je ne sais pas d'où ça me vient, mais depuis que j'ai expérimenté la chose pour la première fois à mes seize ans, je n'ai pu m'arrêter. Je ne suis pas nymphomane mais .. J'aime les hommes, les femmes, j'aime les tester, les détester. Les jeter au petit matin après une nuit folle dans une chambre d'hotel payée par leurs soins. Même si je suis riche, je n'aime pas gaspiller. »
Un petit rire sortit de ma bouche. Elle me regardait toujours du même air et je soupirais, agacée. Je pensais que lui dire ça la choquerait un peu, mais ça n'avait l'air de rien lui faire.
« J'ai toujours eu ce que je voulais dans la vie. Un poney ? Tout de suite chérie ! Une entrée dans cette grande université ? Pourquoi pas ! Il suffisait de tirer les bons fils pour avoir ce que je voulais. Mais tout m'ennuyait. Alors, j'ai décidé de venir à Vegas .. pour poursuivre ma passion. Le chant, c'est toute ma vie, voyez vous. J'ai toujours adoré jouer avec ma voix pour le plaisir des autres mais surtout le mien. Je couvre plusieurs octaves et on m'a toujours conseillé de faire de la comédie musicale .. Sauf que moi, ce que je veux, c'est signer avec une maison de disques et devenir une star. En solo. »
Elle notait, elle notait toujours. Partie sur ma lancée, je voulais lui en dire plus.
« Mes parents sont divorcés, à présent. Et comme ils se disputent mon amour, ils me paient de plus en plus de choses, toujours plus folles. M'éloigner à Vegas était aussi un moyen de partir du foyer familial et de me dégager un peu de tout ça mais apparemment, ils ne semblent pas le prendre en compte. »
Elle releva enfin le regard. « Nous allons finir sur ça pour aujourd'hui. »
Vexée qu'elle puisse me couper la parole, je me levais et lui fourrais ses malheureux dollars dans la main avant de partir en roulant des hanches. La garce.